mardi 9 octobre 2007

"Les" cordes de basse


Raah, j'ai enfin trouvé - si je dis "enfin" c'est que j'avais mal cherché - "les" cordes de basse. Du son brillant, de la patate ET de tout ceci dans la durée. Et pour finir, cerise sur le gâteau, ces qualités duuuuurent.

Simple : j'ai installé ces cordes il y a un mois, et elles sonnent toujours comme si elles étaient neuves. Avec les GHS boomer que j'utilisais avant, ce même son ne durait que quelques jours, voir quelques heures en cas de slap intensif, après quoi je passais à la corvée de cuisson des cordes pour qu'elles puissent me gratifier quelques heures de plus de leur brillance passée.

Outre leur qualité dans la durée, le toucher de ces cordes donne un glissé tel qu'on peut maintenant bastonner celles-ci sans chausser des gants de fer (ceux qui on essayé les Ernie Ball savent de quoi je cause).

Bon, enfin je mets un terme au suspense pour les ceuzécelles qui n'ont pas vu l'image, il s'agit des cordes Elixir, et plus précisément des Elixir Nanoweb.

Bien évidemment, tout n'est pas idyllique dans le monde, y compris le monde des cordes de basse. Et toute qualité, fut-elle exceptionnelle, a son revers. Pour ces cordes, c'est le prix. Compter environ 50 € pour un jeu de cordes contre environ 20 € pour les jeux de cordes habituels. Mais comme ces cordes durent bien plus longtemps...

vendredi 21 septembre 2007

Ca y est, j'ai mon OpenId


La gestion des logins et mots de passe pour les dixaines de sites sur lesquels j'ai un compte commence à me gaver sérieusement.

Il y a toujours la solution KeePass qui permet de gérer sa base de données personnelles d'accréditation aux différents services internet dont je dispose. De plus, Mac OS est muni de son propre système de gestion et de protection des mots de passe externes, le trousseau d'accès.

Bon, tout ça ne m'aide pas vraiment lorsque je suis loin de mon Mac, sans ma clé USB et sa base KeePass (alias: mode geek = off) et plein de trous dans ma mémoire.

OpenId est la réponse à ce genre de problématique. Il suffit de s'inscrire chez un fournisseur OpenID, et on dispose alors d'un login unique sous forme d'URL que l'on peut utiliser pour tout un tas de sites.

Bon, il n'y a pas encore des masses de sites ou services qui utilisent l'authentification OpenID, mais cette technologie d'authentification est le "buzz" du moment, et il y a fort à parier que de nombreux sites utiliseront dans un futur proche l'authentification OpenID.

Les technologies alternatives Google et Microsoft ont de leur côté du plomb dans l'aile. L'initiative de Google permettant d'utiliser l'adresse gmail comme identifiant pose le problème du fournisseur unique d'identité. Avec OpenID, vous pouvez choisir un hébergeur d'identités parmi ceux disponibles, et généralement avoir plusieurs profils en fonction du site sur lequel on s'identifie.

Ne parlons pas de passport.net, la "solution" de Macrosoft, solution 100% propriétaire et 100% fermée, comme d'hab' dans les logiciels signés Bill.

A ceuzécelles qui n'ont pas encore leur Open ID, je recommande vivement de se magner. Côté engouement, le phénomène rappelle Google mail et MSN pour lesquels il faut beaucoup d'imagination pour trouver un alias disponible représentatif de votre blaze.

Raaah, j'veux ça


Ras le bol de suer et de perdre deux heures de vie par jour dans le métro/bus. Je vais casser ma tirelire et reprendre une moto, histoire de me rappeler ma jeunesse pas si lointaine et de diviser par 4 le temps de transport d'un point à un autre de la région parisienne.

Je commence à chercher dans les occasions récentes ce que je pourrais trouver correspondant à mes goùts et mon pouvoir d'achats. Après un grand "boof" consécutif à l'exploration des catalogues actuels de trails urbains ou de "gros" scooters (vers 500cc), mes ballades m'ont mis sur le chemin de ceci :

Une BMW 650 de type trail urbain, avec une transmission à courroie. Tout ce qui me plaît : un look sympa mais classieux et loin du matuvu, la bonne puissance pour une bécane à vocation urbaine et pouvant faire un peu de route, et une transmission par courroie (ras le bol de la corvée de graissage et tension de la chaine).

Hélas, la bête semble ne plus être au catalogue du constructeur. Les modèles de remplacement ont abandonné la transmission par courroie (pourquoi ?) et donnent dans le look soit "sportif" (défense de rire), soit le look franchement utilitaire.

Quelqu'un connait-il le nom de ce modèle (qui n'apparait nulle part sur la carrosserie). Si un visiteur reconnait sa bécane, merci d'avance de me le faire savoir.

mercredi 19 septembre 2007

Baffrons...


Un bistro qui ne paie pas de mine, les pochetrons du quartier au comptoir, une ambiance acoustique de type hall de gare, mais...

Le Baribal est bien le meilleur restaurant à viande de ce côté de la seine. Plats aussi goûteux que copieux, à se faire dilater la panse, de même que les entrées et les desserts. Il faut s'être mis préalablement à la diète (et consécutivement aussi comme vous vous en rendrez compte) si vous tenez à enchaîner entré, plat de résistance et dessert.

Les angoissé(e)s de la calorie pourront également trouver leur bonheur (poissons, épinards, ...).

Les plus craquants, qui me font saliver sur le clavier :

  • La côte de bœuf
  • Le filet de bœuf
  • La sole meunière
  • Le confit de canard

Un plus pour les noctambules : si les crocs vous démangent nocturnement, l'établissement vous accueille jusqu'à minuit et demie, parfois une heure du mat' si votre tête, comme la mienne, attire la sympathie du personnel de l'établissement.

Si vous comptez arriver à plus de quatre aux heures de pointe, je vous conseille de réserver et d'arriver à l'heure, surtout si vous êtes non fumeur.

Et si, comme moi, vous trimbalez souvent avec laptop dans la poche, une connexion WiFi libre est disponible.

La douloureuse : comptez laisser environ 30 € par personne, boisson comprise

Le Baribal
186, rue de Vaugirard
75015 Paris
01 47 34 15 32

dimanche 16 septembre 2007

Historiquement correct


Un excellent bouquin que mon poupa m'a prêté... Comme je ne suis pas très en verve en ce moment, je vous fais un très original copier/coller du quatrième de couverture.

Partir du présent pour juger le passé au lieu de le comprendre, voilà ce qu'est l'historiquement correct. L'histoire devient un écran où se projettent nos passions contemporaines, où l'on multiplie anachronismes et jugements de valeur.

Ce livre entend remettre les pendules à l'heure en rappelant des faits oubliés ou dissimulés : la violence et l'intolérance également partagées au temps des guerres de Religion, la haine anticléricale des années 1900, pendant de l'antisémitisme, ou encore l'extrême complexité de la France des années 1940 ou de la guerre d'Algérie. On verra ainsi que le mal n'est pas toujours où l'on dit, le bien pas toujours où l'on croit.

Même si Jean Sévillia ne cache pas ses sympathies politiques, il expose dans son ouvrage essentiellement des faits historiques entre l'époque féodale et la guerre d'Algérie en passant par la Révolution, et démonte les arrangements idéologique et les divers travestissements qu'en ont fait les très médiatiques maîtres à penser issus généralement de l'après 68.

Histoire de ne pas lire l'histoire avec les oeillères manichéennes qu'il est incorrect de soulever, et rappeler les vérités de l'histoire de notre pays où tout n'est pas histoire de la lutte du bien contre le mal.

Pour les ceuzécelles qui veulent se le procurer :

Historiquement correct
Jean Sévillia
Collection Tempus - Editions Perrin
ISBN : 2-262-02497-9